Les fientes de frêne dans les palaces pour fou décollent
Les pantes de Raine dans la place des fous s’envolent
Les pantins de reine dansent à la place des fours qui volent
Les patins drainent et pensent à la place d’un fou qui vole
Les platanes dressent des penses à la plage flou qui viole
Les places d’âne se dressent et lancent la page flot à mi vol
Les plaques de dame s’empressent avec des lances en panne qui flottent et mirent l’envol
Les pacs de drame s’emparent des lances en perdent aux chiotes des milles envols
A pâque les rames se parent de planches éperdues aux chiots de milly qui vol
Un Mac qui rame en se perdant, flanche son père dut aux chiites des millions de vols
Un hamac qui brame en saupoudrant une planche qui perd un duo de frites des chicons drôles
Un amas de rame lance pourtant une tranche de perdant en duo de fils de ch’tis con qui frôlent
Alma râle pour une balance tranchée, prudente et l’endo de pisse chit des conquis folles
Alma est pâle, elle balance sans broncher et prudente et l’endort de p’tit pchit des son qui miaulent
Un mât et une pale en vacances semblent tronquer du pus de dent d’or psychique de leçon qui trône
Un matheux s’empale en avance sans bête perdue au prudent de psy chic de long tronc
Un matelot sans pale avance cent bêtes perçues et une ode prie dans un psy Sync pour longtemps
Un marteau central en France semble percuter une robe gris dans un chic pays, longtemps
Une mare, tôt, sans rail enfonce la sangle parsemée d’une roche de riz dans un chic prairie par bon temps
Une barge tousse enrayée, fonce lassant le parc semé de broche risant à Chypre et rit d’un beau paon
Une berge pousse l’enroué foncé passant par le parc semé de torches riant de chips. Henry peint l’autan
Un Belge louant un roux foncé chassant à pas les marques séchée de trucs chiant des chipeurs priant Satan.
Un beige loup hante une proue défoncée en chassant un appât marqué de seiches de turc et chante des nids de peur pris dans Satan
Un bigleux ment à une proie défoncée par un passant à un appôt de marquis séché d’autruche des nids de porcs prié en 7ans
Un Beagle rend à une proie un dé foncé, parrain d’un paysan apôtre démarqué par le pêcher d’un russe, et renit le porc strié en septembre
Un aigle vend une soie d’un bleu foncé marin qu’un paysan apporte du marché par la pêche d’un russe et remet un parc strict en sept membres
Un angle de veau est, soit, bleu foncé marin d’un pays sans apôtre démarché par la messe d’une ruche en met de parc-street au sel de membrane
Un ange de vœux est soit bleu foncé mais d’un pâle sans apporter de mash à la peste d’une perruche et met de la pastèque au sel de mandragore
Je venge un heureux et crois le bleu tombé en mai qui râle sans apport et marche à la fête d’une perruque aimée de la thèque au style de mon dragon

Je vais aller voir Sasori
J’ai été le soir chez Sasori
J’ai été m’assoir, cher Sasori
J’ai un bavoir chez Sasori
J’ai un avoir chez Sasori
J’ai du ravoir ce Sasori
C’est dur à avoir ce Sasori
C’est dur un devoir chez Sasori
C’est pour un devoir chez Sasori
C’est dût à un au revoir chez Sasori
C’est dût à un héro chez Sasori
C’est dur d’être un héro comme Sasori
C’est pour mettre un héron chez Sasori
C’est pour mettre Eyros chez Sasori
C’est pour une lettre d’Eyros cher Sasori
C’est pour une lettre de roi chez Sasori
C’est pour une quête de coiffer Sasori
7 poux ont une quête de coiffer Sasori
7 moutons en quête de coiffer Sasori
Ces moutons enquêtent le coffre de Sasori
Ces mous ont la moquette du coffre de sa souris
Ces fous font la cueillette du corps de Sasori
Ces fous sont la Colette du corps de Sasori
Ces clous sont la côtelette du corps de Sasori
Ces cous ont la côte de latte du corps de Sasori
Ces choux font la cote de barre du corps de Sasori
Ces roues sont le code barre du corps de Sasori
Ces trous font le corps barré du corps Sasori
Cette roue fond le corbeau du corps de Sasori
Ce trou pond un corbeau dans le corps de Sasori
Ce troupeau de corbeau dans le corps de Sasori
Cet appeau du corbeau dans le corps de Sasori
Cette peau de corbeau dans le corps de Sasori
Ce copeau de corbeau dans le bord de Sasori
Ce poteau de corbeau danse le sort de Sasori
Ce pot au corbeau dans le sort de Sasori
Ce pote au corps beau dans le soir de Sasori
Ce post au corps bleu dans un soir de Sasori
Ce post au cœur bleu tend à assoir Sasori
Cette poste au cœur de feu vend le soir de Sasori
Cette peau saute le corps de feu vers le soir de Sasori
Cette pause hante le corps de feu pour le soir de ses soucis
Cette rose tente encore le feu pour le sourd de ces sourciers
7 Roses dansent encore en feu sous les jours de ces coursiers
7 rots pensent encore au feu sous les cours de ces sorciers
7€ passaient encore en feu sous les cours de sorciers
Cet heureux poussait une corde en feu, saoulée contre le sorcier
Ce peureux pourrait se tordre en feu loué contre le sorcier
Ce lépreux courrait, se tordant en feulant contre le sorcier
Ce pesteux pourrait se tordre en voulant contrer le sourcier
Ce coureur pleurait en torrent en volant la contrée du sourd scié
Ce courroux pleuvait en torrent enveloppant la contrée de courrier
Ce pou roux pleurait en tournant dans l’enveloppe de la contrée du courrier
Il pourrait plaire en saoulant dans l’enveloppe de la contrée du sourcier
Il courrait la plaine en soudoyant l’enveloppe de la contrée du coursier
Il foulait les plaines en vouvoyant l’ange OP de la contrée du boursier
Il voulait louper le loup voyant qui englobait la contrée du barbier
Il roulait loup et le loup voyant d’Englo et à la contrée du farcier
Il coulait le Louvre en louvoyant Englo à la contrée du fermier
Un cou laid au Louvre foudroyant Englo à la contrée du férurrier
Un poulet, une louve froufroutant l’angle de la contrée du serrurier
Un Shu laid loue un froufrou en ange de la contrée du prunier
A Cholet, loue un froid fou et enrage la contrée du pommier
A paulet, joue à froid feu et engage la contrée du sommet
A tourner, roue à coiffeur et encage la contrée du sommeil