Bonjour
Ma dame la Joie
Je t’aie cherchée nuit et jour
Criant aux oies
Et c’est maintenant que je te trouve,
Dame Joie
Sais-tu quel sentiment j’éprouve
En allant vers toi ?
Peut-être un peu d’amour
Pour ton joli minois
Mais surtout,
Ne l’oublie pas
Une chose exceptionnelle,
Tu ne le croiras pas
C’est de la joie.

Le héros de la vie

Toujours, dans la vie
Il y a des hauts et des bas
Des moments où tu souris
Et d'autre où ton moral n'est pas plus haut que ça

C'est grâce à ça
Qu'on voit les véritable héros
Ce qui encaissent les coups bas
Comme s'il s'agissait d'un cadeaux

Alors qu'ils ont tout perdu
Ils restent joyeux et sourient
Même quand la mort les surprend au coin de la rue
Toujours, ils rient

Ils courent sous la pluie
Et tournent les dos au malheurs
Ils ne voient aucune différence entre le jour et le nuit
Car pour eux tout deux sont porteur de bonheur

L'enfance

J'entend une voix, un chemin s'ouvre à moi.
Douce mélancolie, aux air de mélodie.
Pourquoi ne pas franchir, les marches de cet empire?
Et pouvoir respirer, l'air de la liberté.
Mon monde est plein de loi, et je n'ai point le choix...
Et voilà que cet air, me propose de faire,
Un grand et beau pacte, contre l'ennui des actes.
J'ai bien sur sauté, par dessus les fourrés,
Le vent dans mes cheveux et la vie dans mes yeux.
Et l'ennui s'en alla, laissant place à la joie,
De s'amuser et rire sans avoir à finir,
La ou finissent tous gens qui ne prennent pas le temps,
De vivre l'aventure, et de sauter les murs.

Extase

Entends tu le vent souffler,
L'air de la liberté ?
Ressens tu cette ivresse ?
Joins toi à l'allegresse !
Cours dans les prés,
Marche dans la félicité,
Connais l'euphorie,
Danse et sourie,
Rejoins la ronde de l'enchantement,
Crie ton enjouement,
Parcours le chemin de la gaieté,
Plonge dans l' hilarité,
Et pour finir,
Reveille toi !

La joie, un instant, un moment si éphémère,
Qu'on, si facilement, si simplement, enterre,
Oubliée, rejetée, comme un odieux crime,
Qui pourtant est toujours présente, si infime.

Elle qui pourtant ne demande pas grand chose,
Discriminée, on la remet souvent en cause,
Remplacée par la tristesse ou bien la colère,
Sans qu'on l'enferme elle ne peut vraiment rien faire.

On ne peut jamais se passer de sa présence,
Car elle est dans nos coeurs vides de sentiments,
La rédemption tant attendue, notre ultime chance.

Si on la laisse s'exprimer comme ell' le sent,
On peut alors voir notre vie s'illuminer,
Des merveilles de cette terre ensoleillée.